Il n’y a rien de plus gênant que d’avoir mal au ventre pendant une course. Malheureusement, les troubles gastriques sont classiques pendant une épreuve d’endurance. Voici quelques astuces pour les éviter
Certain-e-s sont tenté-e-s de s’enfiler une bonne plâtrée de pâtes avant la course pour avoir une bonne dose d’énergie. Mauvaise idée : mieux vaut augmenter les apports en féculents dans les jours qui précèdent la course, pour renforcer les stocks de glycogène. La veille d’une course, il faut éviter les repas trop lourds et trop copieux, sous peine de se sentir lourd-e le lendemain.
Ici encore, pas question de faire un petit déjeuner trop copieux : la digestion pourra peser sur l’estomac. Le maitre-mot ? digeste. Des aliments riches en sucre lents – du pain complet, par exemple – valent mieux que des œufs et du bacon . Il faut éviter les fibres, les jus de fruits et prendre le temps de bien mâcher. Dernier conseil ? Manger trois heures avant la course pour avoir le temps de digérer avant le départ.
Pas question de grignoter dans le sas de départ. Un détail qui a son importance : attention à la température de l’eau. Trop froide, elle risque de donner des crampes d’estomac. Penser à la réchauffer dans la bouche avant de l’avaler .