La bonne attitude sur le parcours

Le jour de la course, il n’est pas impossible que les repères soient chamboulés, mais pas de panique, on souffle un coup et on se détend : respect et courtoisie sont les maîtres-mots d’un événement qui se déroule dans la joie et dans la bonne humeur.

La courtoisie avant tout

Il y a une vraie différence entre courir seul-e ou en petit groupe à l’entrainement et courir au sein d’un peloton lors d’une épreuve. Alors forcément il peut y avoir de petites bousculades dans les premières centaines de mètres, mais pas question de s’énerver, rester zen, la situation va très vite se réguler.

Idem pour le ravitaillement, en arrivant devant les tables, il ne faut pas s’arrêter brusquement sans vérifier que l’on ne gêne aucune personne derrière soi. Prendre ce dont on a besoin et s’écarter rapidement. Les tables doivent rester libre.

Le respect des consignes

Elles sont là pour faciliter la course et que tout se déroule dans l’harmonie la plus totale.

• Bien penser à avoir un certificat médical valide ( qui date de moins d’un an) le jour de la course
• Se rendre dans le sas qui a été attribué et qui correspond à son niveau
• Ne pas bousculer les autres coureurs pour être le.la premier-e à se lancer au moment du top départ.

Les valeurs du sport

Une belle performance, c’est celle qui a été réalisée dans le respect des règles :

• Prendre un raccourci n’est pas un crime, mais c’est de la triche
• Si un-e concurrent-e a une défaillance physique, ne pas l’ignorer : aider-le-la et prévenir les bénévoles positionnés sur le parcours
• Rien ne sert de mentir sur son chrono, être fier-e de sa performance.

A l’arrivée

Rien de plus normal que de célébrer sa victoire au moment de franchir la ligne, mais ne pas oublier que les coureur-se-s suivant-e-s doivent bénéficier d’une belle ligne d’arrivée, alors lever les bras, crier , sauter, mais ne pas bloquer le passage.

Être fier-e d’en être la grâce aux efforts réalisés.